Le règne de l’hyperpersonnalisation

encore et toujours d’actualité

… » Connaître leurs clients et être les plus précises et pertinentes possible pour leur adresser le bon message au bon moment, sur le bon support et en temps réel : l’objectif des enseignes est de personnaliser toujours plus leurs offres et de créer une relation de proximité avec les consommateurs… »

satisfaction du client à tout prix

La priorité absolue donnée à la satisfaction client, y compris au détriment des acteurs tiers: c’est la tendance questionnée par le baromètre de la « Valeur shopper 2021« , réalisé par Altavia Shoppermind et OpinionWay. Selon l’étude, Amazon « impose toutes les parties prenantes impliquées dans la satisfaction des clients de se conformer à des normes inédites ». Six critères caractérisent l' »amazonisation » d’une stratégie de vente en ligne: la priorité absolue donnée à la satisfaction client, l’abolition du temps, l’abolition de l’espace, l’information parfaite, la neutralisation de la question du prix et l’invisibilisation du commerçant.

satisfaction client

 un facteur décisif en période de crise

« L’implication du management, l’engagement et la formation des collaborateurs, le partage de valeurs, la définition des bons objectifs sont autant d’éléments déterminants dans une stratégie client afin de maximiser cette « customer lifetime value ».  C’est bien cette orientation client et cette culture client, qui permettront au management de prendre en compte le client dans leurs décisions.. »

 » Au revoir les produits, bonjour les services et les solutions… »

Decathlon devient « un vendeur de pratiques », Leroy Merlin « un vendeur de solutions », Fnac Darty place les services au centre de sa stratégie… Vendre des produits n’est plus une finalité pour les enseignes. Ils deviennent un élément du service proposé aux clients. Explications et illustrations de cette transformation servicielle.

Vers une consommation responsable

ONSOMMATION RESPONSABLE : « LA DYNAMIQUE EST ENGAGÉE »

Philippe Moati est économiste, professeur à l’Université de Paris et cofondateur de l’ObSoCo. Spécialiste de nos comportements d’achats, c’est aussi un fin connaisseur de la distribution. Il brosse pour nous un panorama de la grande consommation en France, après une année qui a tout changé – ou presque.